La Morlière, Espiègleries d’un mousquetaire novice à dix-neuf ans
La Morlière, Espiègleries d'un mousquetaire novice à dix-neuf ans
(La Morlière, Charles-Jacques-Louis-Auguste Rochette de). Espiègleries d’un mousquetaire novice à dix-neuf ans; maintenant homme de lettres. Histoire véritable écrite par lui-même. Paris, Tiger An. XI. – 1803. 12° (13 x 8 cm.). 108 S. mit gestoch. Frontispiz. Moderner Pappband mit goldgepr. Rückenschild. Posthum erschienene Satire des Theaterdichters, Journalisten und Betrügers J. Rochette de La Morlière (1719-1785). – „La Morlière ging nach Paris, trat den Musketieren des Königs bei und wurde binnen kurzem wegen unehrenhaften Verhaltens von der Truppe ausgeschlossen. Nach dieser kurzen militärischen Karriere widmete er sich mit mehr Erfolg der Schriftstellerei. 1746 kam sein erotischer Roman Angola, histoire indienne, Ouvrages sans ressemblance heraus, der mit entsprechenden Kupferstichen versehen war und in dem er ein satirisches Sittenbild des Pariser Gesellschaft der Zeit Ludwigs XV. zeichnete. … La Morlières finanzielle Situation war immer angespannt, die Pension, die ihm seine Eltern zahlten, reichte nicht aus. Wie Jean Fabre schreibt, schlug er sich als Journalist, Gauner und Trickbetrüger, Falschspieler und Gesangsmeister und Schmarotzer der Pariser bürgerlichen und Adelsgesellschaft durch. Er handelte mit Bildern, veruntreute Geld Gutgläubiger, das er anlegen sollte und ging seine Bekannten um Darlehen an. Gegen Ende seines Lebens war er völlig verarmt und starb in einem Pariser Elendsviertel“ (Wikipedia). – Einband fachgerecht erneuert, sehr gutes sauberes Exemplar. – Satire posthume du dramaturge, journaliste et escroc J. Rochette de La Morlière (1719-1785). « La Morlière se rendit à Paris, rejoignit les mousquetaires du roi et fut rapidement exclu de la troupe pour conduite déshonorante. Après cette brève carrière militaire, il se consacra avec plus de succès à l’écriture. En 1746, il publia son roman érotique Angola, histoire indienne, Ouvrages sans ressemblance, illustré de gravures sur cuivre, dans lequel il dressait un portrait satirique de la société parisienne à l’époque de Louis XV. … La situation financière de La Morlière était toujours précaire, la pension que lui versaient ses parents ne suffisait pas. Comme l’écrit Jean Fabre, il gagnait sa vie comme journaliste, escroc et filou, tricheur et maître de chant, et parasite de la bourgeoisie et de la noblesse parisiennes. Il faisait le commerce de tableaux, détournait l’argent que des personnes de bonne foi lui confiaient pour qu’il le place et sollicitait ses connaissances pour obtenir des prêts. À la fin de sa vie, il était complètement appauvri et mourut dans un « quartier pauvre de Paris » (Wikipedia). – Reliure refaite dans les règles de l’art, très bel exemplaire propre.
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